Avant le Sacre du printemps, l'oiseau de feu étend ses ailes, survole la terre endormie et la réveille. Réchauffés, les premiers bourgeons, timides, apparaissent, les arbres renaissent, plus verdoyants encore, et une nouvelle saison se prépare.
La nuit fait place au jour, l'hiver à la saison des amours.
Et, en même temps, l'oiseau brûlé renaît de ses cendres. Deux mois de convalescence ne seront pas suffisants, mais les plumes se lissent déjà, le plumage s'illumine et la tête se redresse. La douleur est persistante mais la vie a repris ses droits.
La porte des enfers est loin derrière et devant nous.
La nuit fait place au jour, l'hiver à la saison des amours.
Et, en même temps, l'oiseau brûlé renaît de ses cendres. Deux mois de convalescence ne seront pas suffisants, mais les plumes se lissent déjà, le plumage s'illumine et la tête se redresse. La douleur est persistante mais la vie a repris ses droits.
La porte des enfers est loin derrière et devant nous.
2 commentaires:
Bonsoir Rubia !
Belle surprise du soir !
Pur hasard d'un clic paresseux de vendredi soir d'après escrime... Ce poser et par réflexe allez voir si les morts ressuscitent, si les anciens liens se renouent, si les canaux se débouchent. Car oui, voici le printemps. Tout respire. Tout espère.
Heureux de vous lire de nouveau. En convalescence, le cœur en bandoulière, toujours blessée, mais de nouveau en piste. En chemin.
A bientôt de vous lire et d'échanger quelques mots, vues, humeurs.
Buen' fin de semana !
Merci à vous, unique et brillant visiteur. Toujours un plaisir de vous lire !
Enregistrer un commentaire