mercredi 20 août 2008

Les romans d'été ne sont pas que des polars

ou des Marc Lévy ...

Pendant mes vacances merveilleuses, un bel ami m'a prêté quelques livres. Tous étant écrits par des journalistes, ma lecture représentait donc une sorte de travail. Heureusement, il fut plaisant, reposant, exilant, si je puis me permettre, car ces romans avaient pour décors de jolis paysages de vacances, pour intrigues de touchantes et complexes histoires humaines, amicales, charnelles et amoureuses, le tout écrit dans un style très semblable mais délicieusement musical.

L'excitation avant de partir en Sicile était en partie due à une intense envie de lire ces livres, peut-être parce que le bel ami en question en faisait beaucoup d'éloges mais les titres aussi me parlaient et m'attiraient follement :

La Mélancolie des fast-foods

Depuis toute la vie

Des filles qui dansent

Des garçons qui tremblent

Les Moustaches de Staline

J'avoue que ma préférence se porte sur le dernier que j'ai trouvé remarquable. Je vous le conseille donc, sans en dire plus, car je ne suis pas très bonne pour raconter les histoires, même les miennes ! En tout cas, moi, qui n'apprécie pas forcément Fitzgerald, ce roman m'y a fait beaucoup penser et ne m'a pas empêchée de l'aimer.

Je fus un peu déçue par les autres, l'excitation était sans doute trop grande pour des pépites semi-précieuses. Je reste une amatrice de classiques, les grands des siècles passés, les génies de la littérature, ceux qui resteront dans l'histoire, des bijoux, des trésors qui scintilleront toujours.
Ainsi, le programme prochain : Dostoïevski, Balzac et pourquoi pas tenter Proust, en me fiant à la Hussarde.

2 commentaires:

Albertine a dit…

hé mais on n'a pas le nom des auteurs !!!
sinon les titres déchirent effectivement...

Rubia loca a dit…

Parisis pour les 2 premiers
Hoffmann pour les 2 suivants
Ceresa pour le dernier
et le tien, où en est-il ? et comment l'as-tu intitulé ?