Besoin d'air, de vent, de mer,
d'homme, de vin, de fièvre,
de fougue, de folie ... et de sommeil aussi.
Besoin de voyage, de fugue et de paysage.
Besoin de zéphyr, d'alizé, de tempête sur l'océan.
Besoin de Méditerranée, d'Atlantique ou de mer Egée
Besoin de Pacifique.
Besoin d'îles, de calme, de paix.
Besoin de nouveauté.
Besoin d'amarres mais de liberté.
et encore envie de toi.
de près comme de loin.
Envie de soleil, de chaleur, d'humidité.
Envie de rire, de tomber, de m'enivrer.
Envie de danser, de sauter, de crier.
Envie de m'évader.
Envie d'ailleurs, envie d'ici, envie de Paris.
Envie de chair.
Envie de chair.
Envie de plaisir.
Envie d'amis.
et toujours de rêves aussi.
4 commentaires:
Chère Rubia,
Je me pose peu mais je vous lis. Vous êtes un fruit rouge. Et votre prose est toujours sensuelle. Blonde, pâle, carmine. J'aime. Mais de grâce, qu'Alice n'en jete plus ! Qu'elle le course et lui fasse rendre corps au lapin blanc! Envie de dire à la merveilleuse ui que son cœur en déborde et qu'au lieu de revenir par reflux "au cœur sec" et pour fuir le risque de se déssécher encore fraiche et sur pattes, qu'elle fasse de se cœur en fusion, de ses besoins, de ses envies, de la chair et des nuits, de la vie, des soupirs, de l'art et de la vie !
Qu'Alice se lasse d'égrener ses désidératas et qu'elle chante ce qu'elle supplie.
Votre cœur n'est plus sec. D'ailleurs l'a t'il déjà était. A vous lire on vous devine. Vous êtes une grande amoureuse. Avec ses excès, ses caprices (...), ses je-l'aime-je-le-jette
Cher étranger,
Toujours enchantée de vous lire. Vous commencez à bien me connaître dirait-on ...
D'ailleurs vous vous permettez de me semoncer et vous avez raison.
Encore quelques temps avant que la course ne se termine ... comme écrit précédemment, elle aura la peau du lapin, la date est fixée, il n'y a plus qu'à patienter, en espérant qu'à ce moment, tout change.
Je vous embrasse.
Vous connaître, non, n'exagérons rien. Exemple : je vous croyais (ancienne lecture et discutions vs notre Hussard82) pop-rock anglo-saxon 100% avec une certaine aversion pour la scène française -premiers plateaux comme seconds couteaux- et voilà que votre play-list post-Bourges est pleine de Ska, d'As de toutes sortes (vu en concert en Aveyron il y a quelques années) ! On aurait dit une playlist d'un nantais ou d'un ligérien bon teint ! : ) Puis rebelotte, aujourd'hui exit les frenchies des festivals (Alice : une homo festivus ?) c’est reparti pour du rock et de l'easy-listenning !
J’en suis juste à me faire une idée de votre silhouette.
Et si je me suis permis l'écart gentil de la semonce du petit mousse, c'est que je ne peux pas assister, toujours, sans rien dire et faire, vous voyant par des textes touchants vous envoyer d’un bastingage à l’autre du pont, pleine de sève, incandescente et paraissant à la fois si bridée. Lâchez la bride, sortez les bottes, virez la selle et étrennez vos éperons, hourrah et pavois à grands vent ! Chargeeeezzzzzz ! Ou choisissez le stone, la tisane camomille et la méditation. Je chambre certes. Juste en vie de vous dire : plus de nœuds au cerveau, : allez-y ! Haro sur le lapin, haut les mains, haut les cœurs… et en avant la musique !!!!
Comme souvent, votre dernière phrase s’apparente pour moi à du turko-roumain de basse Silésie… Bref, sibyllin parfois votre course au lapin ! Si vous savoir décidée est apaisant. Vous savoir stratège est plus flippant. Car pour le coup (du lapin), le jour dit, l’heure dite, qui sera qui menu de qui ?
Me laissant embrassé, je vous souhaite une bonne nuit et un grand matin.
Enregistrer un commentaire