L'été, une saison où tout mûrit, et excite, attire. Le soleil, les étoiles, le vent de la mer, l'inconnu allument et réchauffent. On se laisse emporter, et on se sent revivre, libre de tout, amnésique en quelque sorte de ce qui est loin. On fanfaronne, puis on oublie et s'abandonne. On se retrouve dans un cocon de bien-être et d'ivresse et on ne regrette rien, même pas les baisers volés.
On est galvanisé ...
pour être déchu.
Le naturel au galop ...
3 commentaires:
Il est réellement des coeurs secs qui ne le sont pas. Trop de sensiblerie, pas assez d'orgueil.
C'est après la déchéance, minime sûrement, que l'on est immortel(le), pas avant.
Sensiblerie, mot de mépris ... je suis pointilleuse, je sais.
j'adore ça aussi, c'est tellement vrai. en ce moment je tente de ne pas faire revenir le naturel au galop.
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