Le voeu d'Alice a été exaucé : elle ne traverse plus les miroirs, elle se les prend de plein fouet. Elle était sur un nuage se délectant d'eau de rose et du parfum des fleurs bleues ... mais ce délicat nectar et ce parfum délicieux ont une fin et Alice, du haut du ciel, tombe, dégringole et s'éclate la tête sur le sol.
Qu'elle était naïve en se mettant à nu ! Qu'elle rêvait en écrivant ces vers! Elle est bien embêtée maintenant que la réalité l'a rattrapée. A trop espérer, on en oublie de vivre ce qu'il y a du bon côté.
Elle s'est inquiétée ... pour rien. Il va bien. Tant mieux.
Adieu petit marin, tu fus un bel oasis pour l'assoiffée qu'elle était. Maintenant, par ton silence, elle a compris. Elle ne t'ennuiera plus, promis. Elle sera seulement l'amie, et s'en contentera car tu es trop idéal pour qu'elle tire un trait sur toi.
Alice fugue en suivant le lapin, celui de Pâques est en Turquie, le lièvre de mars étant parti.
Avril va s'ouvrir sur une jolie idylle, sans avenir mais qui restera au creux de son coeur, dans son souvenir, comme tout ce qu'elle a vécu en cette belle année, où le maître-mot était l'éphémère, car il n'y a plus d'éternité ...
Qu'elle était naïve en se mettant à nu ! Qu'elle rêvait en écrivant ces vers! Elle est bien embêtée maintenant que la réalité l'a rattrapée. A trop espérer, on en oublie de vivre ce qu'il y a du bon côté.
Elle s'est inquiétée ... pour rien. Il va bien. Tant mieux.
Adieu petit marin, tu fus un bel oasis pour l'assoiffée qu'elle était. Maintenant, par ton silence, elle a compris. Elle ne t'ennuiera plus, promis. Elle sera seulement l'amie, et s'en contentera car tu es trop idéal pour qu'elle tire un trait sur toi.
Alice fugue en suivant le lapin, celui de Pâques est en Turquie, le lièvre de mars étant parti.
Avril va s'ouvrir sur une jolie idylle, sans avenir mais qui restera au creux de son coeur, dans son souvenir, comme tout ce qu'elle a vécu en cette belle année, où le maître-mot était l'éphémère, car il n'y a plus d'éternité ...