J'ai le cœur en confettis ... Pour les miettes ou la couleur ? Pour la douleur ... du poinçonnage ... L'être presse la perforeuse, le sang gicle et coule lentement, laissant une marque qui ne cicatrisera jamais.
J'ai le cœur en confettis ... On les lancera à mon mariage, quand, dans ma longue robe blanche, immaculée, j'attendrai mon mari qui s'est tiré.
J'ai le cœur en confettis et tout ce qu'il me reste, ce sont mes larmes pour pleurer.
C'est vrai que c'est amusant, ces petits pois rouges qui tâchent la frise ... ça se dilue dans l'eau salée, donne un beau rose pastel sur la dentelle, ça donne de la vie là où le calme régnait.
Allez, c'est la fête, allons danser ! Sur la tombe de mon bonheur, et tant qu'on y est, allons y cracher !
Ce n'est pas qu'une cérémonie, soyons sports, voyons ! Le combat est beau, les joueurs entraînés ... qui fera le plus de mal à l'être aimé ?
Jeu set et match ... pour l'instant, c'est ex-æquo. Une telle manche sur un parvis d'église, n'est-ce pas ironique, dangereux, un peu sadique ?
Sur les pierres grises, le ciel se fond et devient peu à peu menaçant. La pluie s'annonce, drue et purifiante ... d'ailleurs, l'eau monte déjà, terrassée par l'effort, je m'affaisse et me noie.
La ligne ne suffit plus.
Le triangle ne fut pas.
L'amour repose en paix.
Mea culpa.
J'ai le cœur en confettis ... On les lancera à mon mariage, quand, dans ma longue robe blanche, immaculée, j'attendrai mon mari qui s'est tiré.
J'ai le cœur en confettis et tout ce qu'il me reste, ce sont mes larmes pour pleurer.
C'est vrai que c'est amusant, ces petits pois rouges qui tâchent la frise ... ça se dilue dans l'eau salée, donne un beau rose pastel sur la dentelle, ça donne de la vie là où le calme régnait.
Allez, c'est la fête, allons danser ! Sur la tombe de mon bonheur, et tant qu'on y est, allons y cracher !
Ce n'est pas qu'une cérémonie, soyons sports, voyons ! Le combat est beau, les joueurs entraînés ... qui fera le plus de mal à l'être aimé ?
Jeu set et match ... pour l'instant, c'est ex-æquo. Une telle manche sur un parvis d'église, n'est-ce pas ironique, dangereux, un peu sadique ?
Sur les pierres grises, le ciel se fond et devient peu à peu menaçant. La pluie s'annonce, drue et purifiante ... d'ailleurs, l'eau monte déjà, terrassée par l'effort, je m'affaisse et me noie.
La ligne ne suffit plus.
Le triangle ne fut pas.
L'amour repose en paix.
Mea culpa.
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