Tu es encore là ... Pas seulement dans un coin de ma tête, tu es tout près de moi. J'avais pourtant largué les amarres, avais laissé ton bateau partir, sans le retenir ... mais dès que je jetais la corde à la mer, tu la lançais de nouveau dans ma direction et toujours, sans faillir, je la saisissais, faible que j'étais. Je me suis posé beaucoup de questions quant à l'utilité de la manoeuvre mais je n'avais pas la force de tout abandonner, de tout effacer. J'ai déjà fait disparaître quelques traces, mais ton odeur me pénètre encore, ta voix résonne toujours à mes oreilles, le souvenir de tes mains court encore sur ma peau ... il n'est pas si facile de s'affranchir de toi.
Te voir, debout, souriant, hier soir ... tu n'as rien perçu mais mon coeur battait la chamade, nous nous étions dit adieu, tu ne devais pas revenir, notre dernière nuit était belle et parfaite, je ne t'attendais plus aux détours des rues et voilà, tu es revenu ... et je devais alors fuir ... en toute logique.
Mais peine perdue, les chaînes ont accouru de nouveau, ont enserré mes chevilles, dès que tu as posé ton sceau sur mon front, tes lèvres brûlantes qui réchauffèrent tout mon être, j'étais à nouveau à tes genoux.
Je deviens brasier dès que tu me baises. Plus rien n'existe autour, que la musique du piano qui semble jouer tout seul là-bas dans le salon ... Moi dans ton lit, je suis de nouveau tienne tout entière, tu me prends car je me donne.
Tout mon corps te réclame, mon coeur bondit rien qu'en écrivant ton nom, ma bouche ne prononce que des je t'aime, des je t'adore, en ta direction, ma vie s'évapore quand je crois l'amour mort ... Mais tu l'as ravivé, comme ça, d'un souffle !
Tu m'aimes un peu, n'est-ce pas ?
Dis-le moi, je t'en prie. Je n'attends que cela.
Pourquoi ?
Moi-même je n'en sais rien, peut-être que ça me ferait jouir, tout simplement sans que tu me touches, juste par ces trois mots dans ta bouche. Dans la mienne, j'y mettrai tout ce que tu me dis, des déclarations, des promesses, ton vit ... Mon amour pour toi n'a plus aucune limite, j'ai envie de toi, là maintenant, tout de suite. Et je te sens rougir à ces mots que je murmure dans ton oreille que je croque mille et une fois sans me lasser, car je te sens frémir comme quand c'est toi qui me le fais ...
Il est temps que je cesse. Que je me raisonne ... Que dois-je faire sans toi lorsque tu m'abandonnes ? Te rester fidèle ? Rêver de toi à chaque lever de soleil ? Je le ferai si tu me dis de le faire, je le ferai si lors de notre dernière nuit, tu as enfin compris que je ne suis pas ton ombre, ta chose ou ta putain, je suis ta Pénélope, ta femme, celle dont tu as besoin.
Réveille-toi, ouvre les yeux ...
Te voir, debout, souriant, hier soir ... tu n'as rien perçu mais mon coeur battait la chamade, nous nous étions dit adieu, tu ne devais pas revenir, notre dernière nuit était belle et parfaite, je ne t'attendais plus aux détours des rues et voilà, tu es revenu ... et je devais alors fuir ... en toute logique.
Mais peine perdue, les chaînes ont accouru de nouveau, ont enserré mes chevilles, dès que tu as posé ton sceau sur mon front, tes lèvres brûlantes qui réchauffèrent tout mon être, j'étais à nouveau à tes genoux.
Je deviens brasier dès que tu me baises. Plus rien n'existe autour, que la musique du piano qui semble jouer tout seul là-bas dans le salon ... Moi dans ton lit, je suis de nouveau tienne tout entière, tu me prends car je me donne.
Tout mon corps te réclame, mon coeur bondit rien qu'en écrivant ton nom, ma bouche ne prononce que des je t'aime, des je t'adore, en ta direction, ma vie s'évapore quand je crois l'amour mort ... Mais tu l'as ravivé, comme ça, d'un souffle !
Tu m'aimes un peu, n'est-ce pas ?
Dis-le moi, je t'en prie. Je n'attends que cela.
Pourquoi ?
Moi-même je n'en sais rien, peut-être que ça me ferait jouir, tout simplement sans que tu me touches, juste par ces trois mots dans ta bouche. Dans la mienne, j'y mettrai tout ce que tu me dis, des déclarations, des promesses, ton vit ... Mon amour pour toi n'a plus aucune limite, j'ai envie de toi, là maintenant, tout de suite. Et je te sens rougir à ces mots que je murmure dans ton oreille que je croque mille et une fois sans me lasser, car je te sens frémir comme quand c'est toi qui me le fais ...
Il est temps que je cesse. Que je me raisonne ... Que dois-je faire sans toi lorsque tu m'abandonnes ? Te rester fidèle ? Rêver de toi à chaque lever de soleil ? Je le ferai si tu me dis de le faire, je le ferai si lors de notre dernière nuit, tu as enfin compris que je ne suis pas ton ombre, ta chose ou ta putain, je suis ta Pénélope, ta femme, celle dont tu as besoin.
Réveille-toi, ouvre les yeux ...
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